Wreckfest ps4 test: Test de Wreckfest par jeuxvideo.com

Test de Wreckfest par jeuxvideo.com

Après bien des mésaventures, et une phase d’early-access des plus encourageantes, Wreckfest est enfin disponible sur nos PC chéris. Les créateurs de FlatOut reviennent avec un jeu de course déjanté, et à la réalisation impeccable. Un incontournable en cette période estivale, pour quiconque aime la vitesse et la course décomplexée.

Wreckfest, la bande-annonce

Wreckfest trailer

Des versions PS4/One qui font le strict minimum (mise à jour par Epyon, le 26/08/2019)

Elles étaient attendues, et elles ne devraient pas decevoir. Les versions consoles de Wreckfest ont fini par débarquer et sans surprise, le titre de Bugbear est toujours aussi amusant, toujours aussi unique en son genre, avec sa physique intelligente et son mode Carrière très complet. Toutefois, si sur notre petit temps de jeu, nous avons remarqué que plusieurs bugs de la version PC, telle que nous l’avions testée à l’époque, ont disparu, d’autres sont apparus. À commencer par des messages d’avertissements (comme «suspensions cassées») qui sont affichées en portugais. On notera également quelques temps de chargement un peu longuets et un rendu graphique en deçà des capacités de nos PlayStation 4 Pro et Xbox One X, même si l’ensemble reste évidemment très correct.

Début 2013, Bugbear Entertainment s’offrait un retour aux sources après plusieurs années d’errements. Le projet qu’il présentait alors au public n’avait pas de nom mais l’on pouvait immédiatement reconnaître la patte si particulière du studio. Vitesse, dérapage et tôle froissée, tout semblait indiquer une résurrection des premiers FlatOut. D’abord appelé Next Car Game avant d’être officiellement baptisé Wreckfest, le titre a traîné ses carcasses en early access pendant de longues années, attirant dans son sillon de nombreux joueurs déjà convaincus. Maintenant qu’il est sorti pour de bon, nous nous sommes penchés sur le dernier bébé de Bugbear et vous vous en doutez certainement si vous connaissez déjà le titre, on a eu du mal à en décrocher.

La tôle des opticiens

Les textures sont fines et précises, sur la route comme sur le bas-côté.

Attention, fracture de la rétine : en lançant Wreckfest en 3840×2160, on s’attendait à pouvoir profiter d’un jeu joli, mais techniquement limité aux faibles moyens d’un studio indépendant. On s’était rarement autant trompé. Wreckfest est tout simplement magnifique, offre des textures fines et des effets de lumière et de particules extrêmement réussis. L’écran de jeu est d’autant plus chatoyant que la direction artistique du titre est au niveau de cette impressionnante débauche de maîtrise technique. Coloré à outrance, le jeu évoque de ce point de vue là le travail des Anglais de Playground Games, dans la mesure où il n’hésite pas à saturer certaines couleurs pour flatter les yeux du joueur. Tant pis pour le réalisme : chaque nouvelle course, chaque nouvelle épreuve est un régal et Wreckfest déçoit rarement, jusque dans la modélisation des nombreux véhicules affichés. C’est beau, c’est varié, et surtout c’est riche de nombreux détails qui font vivre l’écran, ajoutant ici et là des petites notes de couleurs ou de mouvements qui donnent l’impression de participer à une véritable course.

Notez toutefois que cette apparente perfection est parfois gâchée par des chutes de framerate assez importantes, qui interviennent souvent dans les virages ou lors des collisions, quand l’écran de jeu affiche plus de quatre ou cinq bolides. On imagine qu’il ne s’agit que d’un petit souci d’optimisation, dans la mesure où notre machine est largement capable de gérer un jeu de course telle que Wreckfest, et ce même en UHD. La solution, pour le joueur, est assez simple : baisser la résolution ou rogner sur certains détails. On espère que Bugbear corrigera ceci rapidement, mais comme le jeu étant déjà disponible depuis le 14 juin dernier, notre petit doigt nous dit que cela pourrait prendre encore un peu de temps. Dommage pour les propriétaires de grosses configurations.

Volant d’or

Quand on n’a pas été prévenu, ça surprend un peu.

Mais ce bel écrin ne serait rien sans de belles sensations de conduite, et dans un jeu tel que Wreckfest, on pouvait d’emblée se poser quelques questions. Après avoir été faire un tour du côté des options, pour supprimer toutes formes d’aide à la conduite, on s’est dirigé vers notre première course, qui… n’en était pas une. Solidement assis sur une tondeuse à quatre roues, nous avons dû faire une partie d’auto-tamponneuse avec une vingtaine de participants. Pas les conditions idéales pour tester la conduite du jeu, mais suffisant pour constater que le moteur physique de Wreckfest en a dans le bide : les virages, la perte de stabilité due à la petitesse du véhicule par rapport à la taille du pilote, les chocs, tout était grisant de crédibilité. Voire même, de réalisme. Si par la suite et avec nos premières courses, on a vite compris que Wreckfest ne cherchait pas le réalisme à tout prix, l’ensemble est extrêmement plaisant puisqu’il restitue avec énormément de justesse tout ce qui se déroule à l’écran. Les transferts de masse, notamment, ce qui est très important dans un jeu comme celui-ci, car il faut constamment rééquilibrer son bolide pour être certain de n’offrir aucune prise, aucun appui aux pilotes adverses qui n’hésiteront pas à s’en servir. Wreckfest est certes un jeu de course, mais des courses façon stock-cars, dans lesquelles il n’y a guère de règles. Les contacts sont donc monnaie courante et vous aurez rapidement le réflexe de chercher à aligner autant que possible votre voiture avec la route, pour éviter d’être poussé, retourné, et jeté en pâture au reste du peloton.

Les amateurs de drift en auront pour leur argent.

Dans les virages, on sent les roues perdre petit à petit leur adhérence et commencer à drifter ; les plus doués pourront enchaîner les virages en faisant déraper leur voiture sur des dizaines de mètre, en esquivant les adversaires vicelards ou les carcasses des vaincus. Ajoutez à cela une impression de vitesse grisante et la sensation qu’à ma moindre seconde d’inattention, votre bolide terminera en mille-feuille, les courses de Wreckfest sont aussi jouissives qu’addictives. Difficile de lâcher un jeu aussi précis, aussi, et à la fin si bêtement bourrin. L’équilibre entre course et combats de portière est souvent délicat à trouver dans ce genre de jeu, mais Bugbear réussit les doigts dans le nez. On n’en attendait pas moins de la part des créateurs des deux premiers FlatOut.

Et puisque l’on parle de physique, comment ne pas mentionner l’excellent travail qui a été effectué sur les collisions et la gestion des dégâts. Localisés avec beaucoup de justesse, ils contribuent pleinement au plaisir de jeu : plus la course dure et plus l’on voit son bolide partir en morceaux. La sensation de marcher sur une corde, de prendre des risques est un élément essentiel à tout bon jeu de course. Dans un titre comme Wreckfest, il est un élément visuel extrêmement parlant. Lorsque l’on peut voir à travers son auto et que le siège passager est en feu, difficile de ne pas ressentir une petite pointe de stress, à l’approche d’un virage que l’on sait décisif.

Le stock-car comme vous ne l’avez jamais vu

Plus l’on grimpe les marches, et plus les épreuves se corsent.

La bonne nouvelle, c’est qu’en plus d’être beau et agréable à jouer, Wreckfest a le bon goût d’accompagner tout cela d’un mode Carrière accrocheur. Divisé en plusieurs championnats (Regional Juniors, National Amateurs, Challangers, Pro Internationals, World Masters), cette Carrière a ceci d’intérêt qu’elle ne vous impose pas d’être absolument premier partout, tout le temps. Wreckfest est aussi un jeu de crashs et tatanner les autres participants doit être récompensé ; mais cela n’est hélas pas toujours compatible avec des ambitions de podium. Alors parfois, le jeu laissera libre cours à votre folie destructrice, tandis que par moments, il vous demandera de finir premier. Les objectifs changent d’une course à l’autre. Certains sont même organisés sous la forme de mini-tournois à élimination directe : si vous n’êtes pas classés dans les quinze premiers, vous n’accédez pas à la demi-finale ; demi-finale qui vous imposera d’être dans les dix premiers pour accéder à la grande finale. Le tout, finalement, c’est de gagner suffisamment de points pendant ces courses pour débloquer d’autres épreuves, et surtout le championnat supérieur. La progression se fait globalement sans anicroche, car les épreuves sont toutes très variées, et vous demanderont régulièrement de changer de bolide. Lorsque anicroche il y a, c’est simplement parce que vous n’êtes pas suffisamment bon. Wreckfest est assez exigeant et l’IA n’a aucune once de pitié ; à noter que sa difficulté à la Mario Kart peut se montrer frustrante, par moments, puisque sorties de route et crashs empêchent rarement les pilotes supposés être en tête du classement de revenir. L’inverse n’est pas nécessairement vrai pour le joueur, pour qui une sortie de route un peu violente est souvent synonyme de course perdue. De notre côté, nous avons très régulièrement utilisé le bouton Start de notre manette, pour relancer la course à zéro.

Appuyez vous sur vos adversaires dans les virages. C’est permis, et conseillé !

À vrai dire, l’IA est sans doute le seul point faible de cette section du jeu ; n’hésitant pas à sortir de ses trajectoires pour venir vous refaire la portière, elle se condamne parfois elle-même à un triste sort, sans que cela ne lui soit vraiment profitable. Par chance, cela n’arrive pas à chaque course, mais lorsque cela se produit, c’est tout à fait rageant. Pour lutter contre ces terribles ennemis, on jettera régulièrement un œil à la boutique du jeu, qui permet d’acheter de nouveaux bolides, mais surtout de nouvelles pièces. Certains vont permettre de la rendre plus rapides, tandis que d’autres vont servir à la renforcer, par exemple en ajoutant sur les portières de grosses barres de métal qui leur donneront plus de résistance. On comprendra rapidement l’importance du garage qui, sur une course, peut tout changer. Les mécaniciens en herbe pourront également aller fignoler les réglages de leur auto, en ajustant suspensions, rapports de transmission, différentiel ou équilibrage des freins. C’est assez basique mais très efficace, au point de modifier très sensiblement le comportement d’une voiture que l’on pensait incapable de gagner jusque là.

Il faut également saluer le travail de game-design qui a été effectué sur les différentes épreuves de cette Carrière, et notamment le design des circuits : ils ne sont jamais choisis par hasard, notamment dans les épreuves de destruction. Mention spéciale à la course en bus, où l’on a pour consigne de détruire dix petites autos. La section de demi-tour prend ici tout son sens, pour le meilleur comme pour le pire. Et surtout pour le meilleur, à vrai dire.

Points forts

• Vraiment joli sur PC
• Moteur physique au poil, pour le pilotage comme pour les collisions
• La gestion des dégâts
• Le mode Carrière, hyper variée
• Fun du début à la fin

Points faibles

• L’IA a parfois quelques oublis
• Online un peu basique
• On trouve encore quelques bugs
• Quelques soucis d’optimisation pour pouvoir jouer en 3840×2160

Les jeux comme Wreckfest sont rares. Parvenant à marier avec brio jeu de course intelligent et simulation de destruction, le jeu de Bugbear est le digne descendant des « vrais » FlatOut, et l’un des meilleurs jeux de courses parus ces dernières années. Particulièrement joli et doté d’un moteur physique de qualité, Wreckfest frustrera peut-être les amoureux de trajectoires parfaites et de gros chronos, mais il amusera tous ceux et celles à la recherche d’un passe-temps furieusement divertissant.

Note de la rédaction

17

16.2

L’avis des lecteurs
(45)

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Wreckfest im Test — Darauf haben FlatOut-Fans gewartet!

6:27

Wreckfest — Testvideo zum besten Zerstörungs-Rennspiel seit FlatOut 2

Autos zerstören will gelernt sein. Das mussten Fans der legendären Crash-Racing-Reihe FlatOut in den letzten Jahren leidvoll erfahren, im wahrsten Sinn des Wortes. Mit wechselnden Studios und Publishern wurde die einst so ruhmreiche Serie mit dem unfassbar miesenFlatOut 3 und dem bestenfalls egalenFlatOut 4 mit Volllgas gegen die Wand gedonnert.

Also müssen es mit den Finnen von Bugbear nun diejenigen richten, die FlatOut einst erfunden und groß gemacht haben. Nach über fünf Jahren Entwicklungszeit ist der Nachfolger im Geiste Wreckfest endlich fertig, und zeigt mit seiner Rückkehr zu den Serienwurzeln allen Nachahmern, wo der Zerstörungshammer hängt.

Ein Fest für Zerstörer

Wenn Stahlkarossen mit hohem Tempo aufeinanderprallen, wäre es reichlich witzlos, wenn dabei bloß der Lack ein bisschen angekratzt würde, obwohl das in den meisten anderen Rennspielen nach wie vor die Regel ist. Über derartige Mängel des Schadensmodells müsst ihr euch in Wreckfest keinerlei Sorgen machen.

Realistisch mag ein kunstvoll zusammengeknautschter Blechbolide vielleicht nicht immer aussehen. Wenn die Karosserie nach einem Zusammenprall aber sämtliche Regeln der Geometrie missachtet oder das bis zur Unkenntlichkeit zusammengedrückte Heck den Blick aufs Hinterrad freigibt, dann ist das ein Fest für Zerstörungsfreunde.

Wreckfest — Screenshots ansehen

Das gilt auch für Umgebungsobjekte wie Reifenstapel oder Begrenzungszäune, die wir bei unserer betont rücksichtlosen Fahrt im Notfall einfach mitnehmen. Schön brachial kracht auch der Sound aus den Boxen. Wenn kurz nach dem Start 24 Autos durch eine enge Kurve wollen oder in der Arena alle auf die Mitte des Platzes zusteuern, entfesselt Wreckfest beim Zusammenprall ein Blechschadengewitter, das dem Urknall gleichkommt.

Ausgerechnet die Motorengeräusche der lizenzlosen Autos fallen allerdings ein wenig ab. Das Grölen eines Mustang-ähnlichen Muscle Cars ist stark, die meisten anderen Fahrzeuge klingen aber eher wie der Zweitaktmotor eines Trabants. Zwischen den Rennen gibt’s lizenzierte Rocksongs auf die Ohren. Die stammen zwar anders als beim legendären Soundtrack von FlatOut 2 von eher unbekannteren Bands, passen aber trotzdem wunderbar zum knallharten Vollkontaktsport.

Ohne Leitplanken und mit Gegenverkehr kann ein gut getimter Schubser Wunder wirken.

Stichwort Kontakt: Während in anderen Rennspielen Kontakt in der Regel eher zu vermeiden ist, gehört es in Wreckfest zum guten Ton, Gegner von der Piste zu drängen, Dreher zu provozieren oder ihnen vor einer Kurve voll ins Heck zu fahren. Weshalb auch bremsen, wenn man anders die Geschwindigkeit verzögern kann?

Allerdings fährt eben jeder in Wreckfest so, einschließlich der Computergegner. Und es kann durchaus frustrieren, wenn euch jemand in der letzten Runde von der Strecke schießt, was angesichts des meist dicht zusammen gedrängten Fahrerfelds gern mal zehn Positionen und mehr kosten kann. Wer einmal den Anschluss ans Feld verliert, holt zudem mangels Gummiband-KI nur selten wieder auf. Andererseits sorgt genau das für spannende und glaubwürdige Rennverläufe bis zur letzten Kurve, zumal auch die Gegner nachvollziehbare Fehler machen.

Der Zufall fährt mit

Angesichts des fantastischen Schadensmodells verständlich: Auch ein Großteil der 17 Kurse ist darauf ausgelegt, dass es möglichst häufig amtlich scheppert. Mal fehlen Banden, sodass euch bereits ein kleiner Schubser in den Gegenverkehr befördert, mal gibt es sogar Kreuzungen, was bei bis zu 24 Autos fast schon zwangsläufig zu Massenkarambolagen führt.

Das kann großen Spaß machen, wenn ihr euch gerade so durchschlängeln könnt. Oder gerade zu Karrierebeginn hart nerven, wenn ihr Teil der Karambolage werdet und so der sicher geglaubte Sieg noch flöten geht. Erst im Laufe der Zeit lernt ihr, vorausschauend zu fahren, aber selbst dann lässt sich nicht jeder Crash vermeiden, weil Wreckfest unverständlicherweiser sowohl auf Rückspiegel als auch auf andere Gegneranzeigen verzichtet.

In der Cockpit-Ansicht mangelt es sowohl an Übersicht (kein Rückspiegel!), als auch an Atmosphäre (kein animierter Fahrer!).

Noch stärker vom Zufall abhängig sind naturgemäß die Destruction Derbys in den drei zugehörigen Arenen. Mit Glück haben die Fahrzeuge bereits viel Schaden genommen, sodass ein leichter Stupser reicht, um ihnen den Rest zu geben. Wenn ihr Pech habt, wird euch ein bereits erlegt geglaubtes Opfer noch vor der Blechnase weggeschnappt.

Taktisch Blechkontakt vermeiden und warten, bis sich die anderen gegenseitig schwächen, ist keine Option, denn in Wreckfest startet ein Disqualifikations-Timer, wenn ihr längere Zeit keine Feindberührung habt. Genauso wie im Klassiker Destruction Derby hat eure Karre nur eine begrenzte Haltbarkeit, bis es zu starken mechanischen Schäden und der Zerstörung kommt. Ist die Frontpanzerung kaputt, müsst ihr also auch mal im Rückwärtsgang attackieren.

4:40

FlatOut 3 — Unser legendäres Test-Video zum legendär miesen dritten Serienteil.

Review Wreckfest: Drive Hard. Die last. PS4

The niche of realistic destruction racing games has not been
enjoys wide popularity, like other niches in the racing genre.
However, over the years even of my acquaintance with it, a niche of destructive and
combat races, came out with a dozen interesting projects, from
which I can remember about five worthy of attention — like
series Destruction Derby , Crash Day ,
Carmageddon , FlatOut … and our guest today,
for a long time rolling in the direction of current generation consoles,
and still got under the name Wreckfest: Drive Hard. Die
last. This game was originally set to break into a niche
destroy all the fences and fenders on it, and fill up the gravel
tracks with the wreckage of stylish cars. Did she succeed? Over and above!

The developers at Bugbear are to be commended for being humble and
restraint — they did not stuff their game with a mass of not very
the desired content, but went along a simple path already laid
others: Wreckfest has the simplest gameplay, elementary
car behavior settings, contained in four sliders, and
several basic game modes: free, career and network. Mode
career consists of five championships of different levels, from regional
juniors to world-class masters. Each has different races
type: stadium mash-up with mini tractors/lawn mowers,
school bus trials, speed circuit races,
arenas with the goal of destroying as many enemies as possible and staying
the last «on wheels».

All races have their own restrictions on the cars that the player
need to match. In most of the player’s initial runs
will be allowed on his base car, however, for a more successful passage
it will have to be improved in the garage by purchasing new candles, oil
filters and other spare parts, and even replace with originally more
powerful car. However, upon reaching a higher level, the player will be able to
transfer the most basic C-class car to the B-class and even the A-class,
just installing a new motor. But by now the path is not
close — you need to reach level 30+. I passed two levels of championships,
juniors and amateurs, reaching only the 11th level.

Interestingly, in the car shop they do not open in sequence.
This is an important point, so do not try to leave the store, as
only saw the first car under the «lock», requiring to reach
some higher level. One or two after it may
be new open cars of the upper classes, because sorting
fireballs in the store is built according to their class, and not
according to current availability. I didn’t notice it right away. All cars in the game
differ in basic parameters, from maximum speed to
engine speed and strength, and all these characteristics can be
improve with new parts. They are not very cheap
therefore, players will often have to choose: either save money for
a new car, or make an old one cooler. I chose the second because
that I really liked the initial car, but for slam arenas
bought a hearse.

The controls in the game are slightly different from car to car, in
depending on its power and weight. Wheelbarrows behave differently on
corners, some enter better and accelerate like trains, then
how others tend to fly off the track if not reset
speed up to ridiculous 15-25 miles, however, they gain it enough
quickly to get out of a turn or handbrake with adequate
speed, and not be overtaken. Skidding in Wreckfest is one of
the main ways to overcome the many sharp turns,
especially the horseshoe ones. But if some cars go into drifts and
come out of them normally, then others may roll over due to
a lot of weight, besides, rivals always strive to turn you over
right on the corners. However, this is just normal practice.
I try to do it myself.

Slightly unusual in Wreckfest, compared to overwhelming
most racing arcades, physics and feel of the car. According to these
The parameters of the game reminded me a little of Grand Theft Auto IV ,
where the heaviness of a controlled vehicle is also perfectly felt
facilities. The feeling that was lost in the fifth part. And it is, though
and not so bright due to the difference in technical performance,
was present in FlatOut. The cars here are not sharp and not the most
responsive, although faster cars open a little later with
lots of horses under the hood and the situation is a bit
is changing. And in the game there are races on sofas with wheels, and they
insanely sharp!

Sofas are no joke!

From a technical point of view, the game causes almost no complaints, except
very long loading screens. They are frequent and annoying, but not
no brakes on the tracks, even during major accidents with
the participation of one and a half dozen cars flying in all directions
tires and warped steel. Visually, everything looks very nice:
there is dust, and effects, and a lot of dents. Although the budget model
damage is noticeable, it qualitatively affects the car. if you
bent the wheels or pressed it with a bent wing, the car will
move to the side, she will start to turn worse and generally behave
inadequate. However, sometimes I also had the opposite result:
the wheelbarrow was more convenient to drive in a rumpled state and with damaged
internals (brakes, motor).

The cool thing about this game is the music. She is tough, feisty and
dynamic, to match the chaos on the screen. And he is here in
all races, regardless of their key goal. you will always be
see overturned and rolling cars, or lost on the track
crazy people who drive in the opposite direction and create large-scale
accidents. Modern metal riffs and scraping solos are great
fit into the atmosphere of the game, complement it and add to the player
adrenaline.

Before summarizing, I would like to say: I have no idea why in childhood
loved to play Destruction Derby , but glad that after 20 years
there was a game that evokes the same cool emotions, the same annoyance
because of unfortunate accidents, and the same incomprehensible desire to return to
her. Wreckfest may not be the kind of game that you want to hang out and
ride endlessly, go through all the modes and leagues in one gulp, but to her
nice to come back after a short break, or run in pairs
events/tracks once every two or three days. Actually, that’s what happened to me
FlatOut — could not be in the game for a long time, but also leave
I didn’t want to be with her for long. But if you were ready to race the track for
track in FlatOut, for sure this story will repeat itself in the novelty from
Bugbear.

If you are waiting for
Wreckfest emotions, fun and dynamics of the first two parts
FlatOut — leave your hopes at the door by sitting in a
cockpit and start your muscle car. Wreckfest is more of a modern
Destruction Derby worthy to be called her queen
modest niche of destructive racing filled with gravel and
sandy arenas, ornate tracks that want to crush you on
fenders by rivals, scraping of metal and broken cars,
specially prepared for the most brutal road tests. AND
All this with great music. The only small obstacle
the path to total pleasure from the car mess —
unforgivably long downloads.

I agree about the general technical component. Game well
optimized and the picture is nice. I think developed therefore
endured the exit. Well done guys for making the effort. But still, if in a derby
for 23 players to put against themselves all rivals in the houses on
wheels, then there will be an ass. Once all opponents have lost
trim start brakes. So far I’ve only noticed this with them. This
on a regular PS4.

The game is really in the best traditions of the FlatOut series. It’s a pity,
that they did not make an improved graphic for XOX.
And the downloads are really long, but, as far as I know, the same is true on the PC
and «treated» only by the presence of SSD.

Already repeatedly wrote in digests about this game. Impressions almost
completely positive. I played it on PC though. But it’s not really
important.

Demolution Race reminded me of the distant 90s, since the PS1. Cool!
It is necessary to take

Looks pretty good

Waited for this game and waited. Unfortunately, it is not available in my area yet. I’ll be under
take order.

From a technical point of view, the game causes almost no complaints

Causes a low frame rate on the firmware.
It can be seen that the developers did not bother with optimization. Always
it’s easier to fix fps lock than to deal with drawdowns.

RockaRollaJP , by the way, I have seen the same on PC. Before the patch
which was simultaneously with the release on consoles, the game worked
more or less normal. Sometimes there were drawdowns, for example, at the beginning
racing with a large number of cars. But at the same time, in general
performance was acceptable (FX-8350, 24 gb ddr3, gtx 1066).
After the patch, the game began to regularly drop the frame rate below 30.
Up to 21 frames fell. And don’t care if it’s a race or a derby, a lot
opponents or not at all (seriously, she slows down on an empty track
managed), the graphics settings also do not care.
Updated proc. FPS began to fluctuate between 80 and 140. As per
To me, the spread is quite large. So there is no stability there.

Oh, you have a harsh anti-mat filter. Hesitate, baby, insure
insult.

Posted by RockaRollaJP

Calls, low frame rate on
proshke.
It can be seen that the developers did not bother with optimization. Always
it’s easier to fix fps lock than to deal with drawdowns.

Not 60 fps, I won’t argue here, but I didn’t have noticeable
subsidence, that is, the frequency is stable. I wouldn’t call 27-30 fps
low frequency. But … here is the moment, I passed Underground 2 from 15-20
fps at 100% with gold, and when I launched it on a new computer with 60 fps,
fucked up on the first track

Message from Varyag_Ericsson

Not 60 fps, I won’t argue here, but I have
Pro had no noticeable subsidence, that is, the frequency is stable. I would not
called 27-30 fps low frequency. But … here is the moment, I’m Underground 2
went from 15-20 fps to 100% with gold, and when I launched it on a new
computer with 60 fps, fucked up on the first track

Varyag_Ericsson , Against the background of the fact that almost all games are on the firmware
go in 60 frames 30 already hits the eyes. Yes, and on a weaker PC
(iMac) the subject went mainly in 60 frames with drawdowns up to 40 in
derby mode and at the start of the race. Wondering why pay
more for the console version when things get worse in it. .

Posted by Varyag_Ericsson

A cool feature of the game is the music. She’s tough
fervent and dynamic, to match the chaos on the screen. And he
here in all races, regardless of their key goal. You always
you will see overturned and rolling cars, or lost on
track of madmen who drive backwards and create
massive accidents. Modern metal riffs and scraping solos
fit perfectly into the atmosphere of the game, complement it and add
adrenaline player.

Great, otherwise remember the music in the last one in my memory Onrush
scary even. Same type «Tuts-Tuts».

Vinsent7352 , everything is very good with this, anyway
case for my taste. Already pieces 6 tracks from the game in your playlist
pulled off.
Speaking of other racing games… NFS 2015 has nothing special
there was nothing remarkable, from some tracks in PayBack at all
puked. In Driveclub music is stupid for the background.

kagekiyo , In Driveclub, I generally turned off the music once and
forever on first start.

kagekiyo , in NFS 2015, Gorillas were only pleased.

Alas, «If you expect Wreckfest emotions, fun and dynamics of the first
two-piece FlatOut — leave hope at the door by sitting in
reinforced cabin and starting your muscle car.» — the main reason
Why don’t I want to buy the game at all. Arcade racing without
fun…nah. Never really liked Destruction derby, but wildly
loved the first 2 parts of FlatOut

Vadim , here the dynamics will be lower, and the driver’s departures from
cabins are only possible on certain vehicles.

Varyag_Ericsson , well, the driver was not important, but
dynamics, physics, destructibility was just amazing during
Flatout, wiped it to holes)

Vadim , but I’m familiar with this game
-Test_Drive:_Eve_of_Destruction ? This is the closest in spirit and
opportunities. The first Flatout was good, but still ordinary
car racing simulator.

Unksam , Is this a test drive mod?) Because for the first time
hear)

Vadim , there was such a game on ps2. In fact, the truth is very
similar.

Vadim , I personally do not agree with this phrase if I loved
flatouts are not for mini-games with a driver, but for the opportunity in front of a cool
turn to accelerate faster and fly into the very crowd, so that the mountains
of damaged metal, wheelbarrows flying over the fence and broads rambling,
Yes, and under the cool Mouzon, then take the wreckfest deluxe not even
thinking, it will pay for itself already in the first half an hour, in an hour
you will learn how to customize the car for yourself and just do the heat will trample

neisto74 , this moment I associate more with
Destruction Derby for some reason.

Varyag_Ericsson , well, as they say, markers are different, not
I follow American entertainment very much, and even if it weren’t for fast and furious,
I wouldn’t know about the existence of a derby, but bugbears always
managed to sit on two or even three chairs and wreckfest didn’t
became an exception, fans of autosims made a realistic model
control and damage to auto systems, lovers of arcade rides
with accidents they gave exactly what they wanted, otherwise how many ultimates
carnage can be overwritten, except perhaps
lovers of popular carrier were out of work, on the other hand DLC
no one canceled, you see what else they will introduce)

Already purchased deluxe, not yet launched.
Thanks for the review.

I took it on a PC a couple of months ago. Great game. I’ve been like this for a long time
did not get a fan from racing games.
I hope that a new Carmageddon will be made on the engine of the same game, once and
the rights to the series, and the studio developer Wreckfest is just THQ Nordic
belong.

stanscreamdnb , Yes, it would be nice to see a new one at all
normal Carmageddon. And this is a piece that came out a couple of years ago
more like a mockery than a game.

after 5 days dr
already hinted to anyone that they wanted to be a disochek on xbox =)
the game has been waiting since the announcement on the PC
jammed to holes at the time 1.2 Flatouts

thanks for the review!

Is there a split/screen?

NIK-S-PV , no

Intelligent Destruction Racing Wreckfest Review

Destruction racing games on the road have not been seen for a very long time. Apparently, after the unsuccessful parts of FlatOut, everyone thought it was just a stagnation in the genre, switching to more pop stuff with festivals and Skylines. EA made a timid attempt to return to the genre with a re-release of Burnout Paradise, and Codemasters recently distinguished itself with its OnRush. But Bugbear Entertainment knows exactly what a true FlatOut fan needs — in fact, this studio was responsible for developing the most successful parts of the series. Except that after four years of early access, Wreckfest has already become obsolete.

Wreckfest is not 100% Flatout. Literally from the first race, it becomes clear why. You are put on a small baggage cart and forced to participate in a derby. You just ram those around you and try not to roll over. Moreover, it all looks like a PC version of World of Tanks before a graphical upgrade: no normal post-processing, no visual frills. And from above, there is also the unbearable sound of twenty identical motors, which you immediately want to turn off. Turn off and install the good old FlatOut. It’s good that this is only a first impression — it will get better in the future.

You can blame Wreckfest for such a chaotic start, but you don’t have to. This is due not only to our high expectations, which are the result of nostalgia for the famous series, but also to the protracted development. At first, money was raised for it through Kickstarter, but the developers could not quickly get the required amount and were forced to cancel crowdfunding. Still, one big name was not enough. However, later the authors were able to capture the hearts of destruction racing fans by releasing a couple of tech demos, and then completely switched to Steam Early Access. There they remained for four years.

Derby is the core mode of Wreckfest. It is as simple as possible: you take a car and try to survive, simultaneously knocking out all the opponents from the arena. There are few methods of elimination — frontal impact, sidewall impact, rear bumper impact. .. In short, you understand. Due to the damage system, such races are very remarkable for the accompanying booth. Tires, bumpers and broken glass are flying everywhere, and the screech of broken metal does not subside in the headphones.

Looking at how the equipment shatters into small pieces, you understand exactly two things. First, why there are no licensed cars in the game: no car manufacturer in the world would want to advertise their product in this way. Secondly, with so many particles, you understand that the graphics of the game do not shine, not only because of the protracted development, but also because the system requirements would fly up to an immodest mark.

In addition to the derby, there are also traditional circuit races in the style of the same FlatOut. They also encourage destruction and bedlam on the road, although not to such an obvious extent. Complete randomness reigns here: you never know which part will fall off in the next second. And because of this, you can literally move from the top line of the list of participants to the very bottom in an instant. But this is a kind of specificity that you get used to very quickly. Sometimes you knock down an opponent, and he is forced to drag in the tail, and sometimes they knock you down. Here you restart the race without unnecessary anger and a broken gamepad. From the fact that the car is out of order, I don’t want to scream, but just grunt with pleasure. Still, road battles are too fun to ignore.

In addition, classic arcade circuit racing techniques rarely work here. In any part of Need For Speed ​​or Forza Horizon, you do not always need to brake before turning — you can carefully fit into the «lap» or even use the opponent’s car as a buffer. And they themselves passed the turn with a slight loss of speed, and the opponent was left in a ditch. In Wreckfest, you can also take turns in a similar way, but this is fraught with depletion of the car’s resource. Who knows: maybe just this scratch will be decisive in the next collision. But you can catch gaping opponents with this technique, who are not used to slowing down in front of the corner of the track. In this regard, the game turned out to be much smarter than its competitors: the winner is not the one who holds the gas longer, but who was able to stay alive with the help of the brake. In the end, the most nimble ones break faster, and it is precisely those who were in no hurry to take first place at the start that are knocked out to the leading positions. Just like during a half marathon.

Releasing racing games today is a very thankless task. If you don’t have a bunch of licenses, a big name, and hefty marketing budgets, then your project is already half doomed. And if there is not enough content, then write completely. Unfortunately, Wreckfest has nothing to make it commercially successful in the long run. At first you don’t understand her at all, then you start admiring her, but she gets bored pretty quickly. Even the multiplayer does not save: like the recent OnRush, the servers are empty, and matchmaking takes a very long time. An ambush, in general, although the game is very promising.