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The Witcher 2: Assassins of Kings system requirements



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Can I Run The Witcher 2: Assassins of Kings

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The Witcher 2: Assassins of Kings game details

The Witcher 2 is an intrigue-laden RPG thrusting the eponymous Witcher into a world of kingslayers and conspiracies. And there are plenty of blood-thirsty monsters to hunt down all over the world, as well. A Quad Core processor and a GeForce GTX 260/Radeon HD 4850 is advised for the adventure.

Here are the

The Witcher 2: Assassins of Kings System Requirements (Minimum)

  • CPU: Intel 2.2 GHz Dual-Core or AMD 2. 5 GHz Dual-Core
  • CPU SPEED: Info
  • RAM: 1.5 GB (Win XP)
  • VIDEO CARD: GeForce 8800 (512 MB) or Radeon HD3850 (512 MB). Resolution: 1280×720.
  • PIXEL SHADER: 4.0
  • VERTEX SHADER: 4.0
  • SOUND CARD: Yes
  • FREE DISK SPACE: 25 GB
  • DEDICATED VIDEO RAM: 512 MB




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The Witcher 2: Assassins of Kings Recommended Requirements

  • CPU: Intel or AMD Quad-Core
  • CPU SPEED: Intel or AMD Quad-Core
  • RAM: 3 GB (Win XP)
  • VIDEO CARD: GeForce GTX 260 (1 GB) or Radeon HD 4850 (1 GB). Resolution: 1440×900.
  • PIXEL SHADER: 4.0
  • VERTEX SHADER: 4.0
  • SOUND CARD: Yes
  • FREE DISK SPACE: 25 GB
  • DEDICATED VIDEO RAM: 1 GB




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Assassins of Kings sur PC par jeuxvideo.com

Cette année 2011 est marquée par la sortie de deux gros jeux de rôle à l’orientation opposée : The Witcher 2 et Skyrim. L’un mise sur son ambiance, sa narration et ses personnages, l’autre sur sa liberté et son univers ouvert. Le vœu le plus cher des fans du genre, c’est que ces deux suites très attendues ne déçoivent pas. On ne sait pas ce qu’il en sera pour Skyrim, mais pour The Witcher 2, c’est déjà dans la poche !

Fin 2007, alors que la mode est aux mondes ouverts, un studio polonais du nom de CDProjekt Red décide de proposer un jeu de rôle qui va à contre-courant de cette démarche libertaire, The Witcher. Ce titre relativement linéaire, qui ne permet ni de créer son avatar ni de sortir des sentiers battus, préfère se concentrer sur la narration et sur l’immersion du joueur dans l’univers de dark fantasy violent et sans concession de l’écrivain Andrzej Sapkowski. Le héros, Géralt de Riv le sorceleur, spécialisé dans l’éradication des créatures surnaturelles maléfiques, est confronté à des thématiques résolument modernes (xénophobie, fanatisme, terrorisme…) qui suscitent quelques prises de parti dont il ne mesure les conséquences qu’à long terme. Doté d’une ambiance captivante qui s’appuie sur un monde vivant et crédible, le jeu trouve rapidement son public en dépit d’un système de combat aussi original que déconcertant. La version Enhanced qui paraît l’année suivante, corrigeant pour l’occasion les quelques défauts du jeu de base, hisse même le titre parmi les meilleurs du genre. Autant dire que l’équipe de développement, qui a planché plus de trois ans sur cette suite très attendue, était motivée par un sérieux challenge : réussir à faire encore mieux.

The Witcher 2 bénéficie comme son prédécesseur d’une ambiance fabuleuse.
Souvenez-vous : à la fin du premier volet, une ultime cinématique nous dévoilait comment Géralt parvenait à sauver le roi Foltest d’une tentative d’assassinat perpétrée par. .. un sorceleur ! Ce teasing efficace nous donnait un bon avant-goût de cette suite, dont le sous-titre fait rapidement sens. The Witcher 2 : Assassins of Kings démarre alors que le monarque s’est lancé dans une campagne militaire destinée à récupérer ses deux enfants illégitimes issus d’une liaison avec la baronne Louisa La Valette. La baronnie en question entend bien utiliser ces bâtards pour affaiblir l’autorité royale. Foltest souhaite que Géralt, dont il ne peut plus se séparer, combatte à ses côtés durant l’assaut du château de La Valette. Motivé par la présence de sa chère Triss, le sorceleur s’exécute bon gré mal gré. Le siège se déroule plutôt bien, jusqu’à l’apparition d’un dragon (sorti d’on ne sait où) qui sépare Géralt et Foltest du reste des assaillants. Les deux hommes vont alors se retrouver piégés… Un peu plus tard, Géralt se retrouve emprisonné dans la prison du château. Son interrogatoire, destiné à reconstituer le déroulement des événements, nous est raconté à travers un prologue découpé en plusieurs séquences, qui fait office de tutorial.

L’importation d’une sauvegarde intègre quelques références à vos choix passés.
Ceux qui ont bouclé le premier opus savent pertinemment à quel point le début du jeu ne laissait présager en rien du chef-d’oeuvre qui les attendait. On pensait donc que l’équipe de développement aurait évité de commettre une seconde fois la même erreur. Que nenni ! Linéaire, bavard et bourrin, le prologue de The Witcher 2 cède à la tentation du spectaculaire pour expliquer les rudiments de la jouabilité et du nouveau système de combat. Il se révèle même un peu poussif quand il s’agit de faire face à des spawns de soldats successifs, entrecoupés de QTE inutiles destinés à armer une baliste. Il a toutefois le double mérite d’aboutir à la cinématique la plus belle et la plus émouvante que nous ayons vue depuis longtemps et de nous donner un aperçu de l’une des possibilités les plus grisantes du jeu : celle de prendre des décisions qui influeront sur le cours des événements. Ce lieutenant ennemi que votre tir de baliste n’aura pas atteint, vous opposera donc une résistance sur les remparts. En convainquant Aryen La Valette de déposer les armes plutôt que de courir à une mort certaine, il pourra jouer un rôle un peu plus tard. Ces civils que vous aurez protégés des massacres perpétrés par les soldats du roi, sauront sans doute s’en souvenir…

Le nouveau système de combat est à la fois plus dynamique et bien plus exigeant.
Bref, on mesure déjà dès le début l’importance des nombreux choix proposés, qui entraînent pour la plupart des répercussions à plus ou moins long terme sur votre aventure. Certains passages peuvent prendre des formes différentes et certaines quêtes se terminer de 3 ou 4 façons possibles. Il se pourrait même qu’une grosse portion du jeu dépende directement d’une décision à laquelle vous ne serez pas encore préparé et que vous aurez à prendre en temps limité (une nouveauté). En revanche, si l’on se réjouit des multiples fins proposées, on cherche encore les 4 débuts promis. L’importation de votre sauvegarde du premier volet se borne à modifier votre équipement de départ (vive l’armure du corbeau !) et à intégrer quelques références à la voie que vous aviez empruntée (par exemple, Adda est censée être en vie si vous l’aviez épargnée). Puisqu’on en est à évoquer les promesses marketing, on ne peut que déplorer le système de protection moins souple que prévu, qui vous inflige DRM et téléchargement d’un patch d’activation, ou encore ironiser devant ce contenu retiré à la dernière minute (la fameuse quête du troll) pour être proposé en téléchargement «gratuit». Mais au vu des immenses qualités du jeu, on pardonne facilement à CDProjekt ces quelques écarts.

Les dialogues avec les PNJ sont l’occasion de constater le soin accordé à l’écriture.
A l’image de son prédécesseur, The Witcher 2 se distingue avant tout par ses qualités d’écriture. Face à un Géralt égal à lui-même, qui multiplie les répliques cyniques, acerbes ou cocasses quand il n’est pas torturé par ses souvenirs, on retrouve une galerie de personnages particulièrement fouillés. Ses compagnons, Triss, Zoltan et Jaskier, sont attachants mais parfois difficiles à cerner, et le reste des protagonistes est épargné par tout manichéisme, si bien que les décisions ne sont jamais faciles à prendre. Les quêtes, variées et intéressantes, puisent sans retenue dans les thématiques adultes de l’univers sombre de Sapkowski. On assiste même à des scènes de sexe encore plus décomplexées que dans le premier volet ! L’ensemble est soutenu par une mise en scène brillante dont chaque plan témoigne d’un travail énorme sur la dimension épique de l’aventure. Le revers de la médaille, c’est que The Witcher 2 dégage une atmosphère moins intimiste et moins onirique que celle du premier volet. Plus dense et recentrée sur son sujet, cette suite gagne en rythme et en efficacité ce qu’elle perd en personnalité : adieu les longues balades mystiques entre les petits villages perdus dans la lande, les quêtes annexes sans importance, les conquêtes à collectionner…

Alors là, c’est uniquement pour vous montrer la qualité des textures au sol et des éclairages.
La direction artistique elle-même, plus classique, est moins enracinée dans l’Europe de l’est. Mais les différentes zones de jeu, plus ouvertes et plus vastes que dans le premier volet, n’en restent pas moins très agréables à parcourir. D’une richesse visuelle prodigieuse, elles bénéficient de qualités techniques inhabituelles dans le genre, qui font à ce titre de The Witcher 2 le Crysis du jeu de rôle. Le réalisme des visages, les jeux d’ombre et de lumière, les textures magnifiques et la végétation superbement rendue (la forêt marécageuse du premier acte est à se décrocher la mâchoire) donnent des envies irrépressibles de captures d’écran ! Et pour ne rien gâcher, l’optimisation est excellente sur les machines récentes, ce qui est surprenant quand on sait qu’il est possible de pénétrer dans les intérieurs sans aucun temps de chargement. Les seules réserves tiennent à quelques regards peu expressifs (on pense à celui de Roche) et à certaines animations manquant de naturel. Pour le reste, rarement on se sera senti autant exister que dans cet univers crédible et immersif dont les habitants vous saluent, vous haranguent ou vous insultent à votre passage, quand ils ne discutent pas de vous avec leur voisin ! La météo et le cycle jour/nuit viennent renforcer cette ambiance très réussie.

Les épreuves de bras de fer et de pugilat sont basés sur des actions contextuelles simples.
Cette suite bénéficie également d’une refonte convaincante d’un système de combat qui n’avait pas convaincu tout le monde. Toujours basé sur le timing, il est devenu plus dynamique et plus intuitif puisque c’est au joueur de repérer le moment où l’ennemi baisse sa garde, pour lui asséner plusieurs coups rapides ou un coup puissant, avant d’esquiver ou de parer sa riposte. Bien qu’il se montre finalement plus classique, le système risque de déconcerter les joueurs du premier opus tant cette approche basée sur l’esquive et le positionnement face à l’ennemi tranche avec la lutte frontale qui prévalait auparavant. Mais au terme d’une prise en main assez douloureuse, les combats se révèlent plus intéressants et surtout bien plus exigeants, notamment dans le mode Difficile qui porte bien son nom. Ils nécessitent l’emploi régulier des signes, à la fois moins puissants et plus utiles que dans le premier volet, mais aussi l’absorption de potions (à boire obligatoirement avant le combat). Géralt a heureusement gagné en polyvalence ; il peut à présent combattre à distance, poser des pièges ou assommer ses ennemis par derrière, sans compter que le signe Aard permet désormais d’étourdir un adversaire pour exécuter un finish move, mais aussi de le projeter dans un précipice !

Le menu radial ne remplace pas le manque de raccourcis, mais il se révèle pratique à l’usage.
Il est dommage que l’approche furtive ne soit utilisable que dans les séquences d’infiltration prévues à cet effet. Autre regret, la disparition des styles de combat de sorceleur, qui auraient peut-être rendu certaines phases de boss moins fastidieuses, qu’il s’agisse d’affronter un adversaire «abusé» dont il faut esquiver chaque attaque en roulant sur le côté, ou bien de faire exactement ce que le jeu attend de vous, QTE à l’appui. Ces derniers, qui permettent aussi de gérer les épreuves de pugilat ou de bras de fer, ne gênent pas outre mesure, car s’ils n’apportent rien à l’expérience de jeu, ils se révèlent terriblement faciles. Les combats souffrent de quelques défauts techniques plus embêtants. Chaque monstre garde une zone délimitée dont il ne peut sortir sans regagner automatiquement sa position, même en plein combat, si bien qu’on est parfois amené à exploiter cette faille. On constate aussi un certain manque de précision dans les mouvements de Géralt, qui rend le ciblage d’une créature ou le loot d’un cadavre un peu délicat malgré la possibilité de locker un ennemi ou d’utiliser le médaillon de sorceleur pour surligner les sources d’interaction. Enfin, la jouabilité au clavier n’offre pas suffisamment de raccourcis, vous poussant à recourir au menu radial heureusement bien fichu.

Le nouvel arbre de compétences de Géralt se recentre désormais sur l’essentiel.
Les plus grincheux grimaceront aussi devant un inventaire désormais présenté sous forme de listes. Tout aussi organisé soit-il, il ne s’avère pas forcément plus pratique, surtout quand il s’agit de vendre un objet ou d’attendre que le texte déroulant ait fini d’afficher ses caractéristiques. Si cette interface peu convaincante a été pensée pour que le jeu puisse être porté facilement sur consoles, il serait plus hasardeux d’imputer à ces dernières la simplification de l’évolution de Géralt. CDProjekt se devait de recentrer sur l’essentiel le système d’évolution délicieusement imbuvable du premier volet (quelque peu absurde puisqu’on excellait à terme dans tous les domaines). Il ne donne à présent pour seule liberté, à chaque gain de niveau, que le choix d’une compétence dans l’un des 4 arbres disponibles (général, combat, magie et alchimie). Même si on ne comprend pas trop pourquoi seul l’arbre général est accessible avant le niveau 8 (est-ce pour ne pas confronter d’emblée le joueur à trop de possibilités ?), il permet toujours de développer les domaines que l’on souhaite, et c’est bien là l’essentiel. L’augmentation de la puissance des signes gagne même de l’importance, puisqu’il est désormais possible de les utiliser durant les dialogues pour influencer son interlocuteur.

En mode Difficile, ce combat s’apparente à un véritable cauchemar éveillé.
The Witcher 2 ne s’est donc nullement appauvri par rapport à son prédécesseur, et s’enrichit même de nouvelles fonctionnalités bien sympathiques : à côté de la possibilité de concocter ses potions, on trouve désormais une option de craft qui consiste à faire fabriquer un objet par un artisan sur la base d’un schéma trouvé ou acheté. De cette manière, on peut réaliser soi-même ses équipements, qui sont plus nombreux et variés que dans le précédent volet et qui peuvent même être améliorés. Cette suite a donc toutes les caractéristiques typiques des grands jeux de rôle, et en dépit des quelques défauts cités tout au long de cet article, il ne fait aucun doute que The Witcher 2 : Assassins of Kings en est un. On peut ne pas apprécier toutes les orientations qui ont été prises (ce qui est le cas de l’auteur de ces lignes), mais difficile de nier le plaisir et la puissance émotionnelle procurés par cette aventure de grande qualité. Le jeu est certes un peu moins long que son prédécesseur (une quarantaine d’heures en fourrant son nez partout), mais CDProjekt a surtout évacué les allers-retours superflus et les quêtes de type MMO qui boostaient indûment la durée de vie ; qui plus est, il bénéficie d’une excellente rejouabilité. Voilà donc un achat indispensable pour tout amateur du genre.

Les notes

  • Graphismes
    19
    /20

    Beau à pleurer, The Witcher 2 fera désormais office de nouvel étalon graphique sur PC. Les décors sont magnifiques et la modélisation des visages force le respect. Pour ne rien gâcher, l’optimisation est excellente sur les configurations récentes où le jeu tourne à 40 images/seconde tous détails à fond (désactivez tout de même l’uber sampling).

  • Jouabilité
    16
    /20

    La refonte du système de combat, aussi exigeant qu’intéressant, est une réussite, légèrement tempérée par quelques écueils qui seront peut-être corrigés à l’occasion d’un patch. Le gameplay, qui s’enrichit de nouvelles fonctionnalités, est donc très convaincant. On n’en dira pas autant de la prise en main, rendue douloureuse par une interface consolisée qui ne plaira pas à tout le monde.

  • Durée de vie
    16
    /20

    Précédés d’un prologue assez consistant, les trois actes de The Witcher 2, d’une durée assez inégale, offrent une longévité d’une quarantaine d’heures pour qui s’acquittera de toutes les quêtes secondaires. Le jeu bénéficie en outre d’une excellente rejouabilité relative aux choix effectués, dont certains sont susceptibles de modifier une grosse portion de l’aventure.

  • Bande son
    17
    /20

    Un peu moins marquantes que celles du premier opus (encore que cela reste une question de goûts), les compositions musicales, baignées d’accents épiques, restent superbement efficaces. Une attention particulière a été accordée aux bruitages, d’une excellente qualité. Très correct, le doublage en français est plus réussi pour certains personnages (Zoltan, Jaskier) que pour d’autres (Foltest).

  • Scénario
    18
    /20

    Le soin accordé à l’écriture, la narration et la mise en scène, la profondeur des personnages, épargnés par tout manichéisme, le développement de thématiques adultes dans le respect de l’oeuvre de Sapkowski, le ton mature (vive les poils !) et l’implication du joueur à travers des décisions ayant une incidence (parfois prononcée) sur la suite de l’aventure. .. Que demander de plus ?

En dépit d’un prologue un peu laborieux et de quelques orientations discutables, The Witcher 2 est un excellent jeu de rôle qui se hisse à la hauteur de son prédécesseur. Doté d’un système de combat plus dynamique et plus exigeant, de somptueuses zones de jeu plus ouvertes et plus denses et d’un système d’évolution recentré sur l’essentiel, cette suite gagne en maîtrise, en rythme et en efficacité ce qu’elle perd en personnalité. Le jeu n’est pas dénué de quelques défauts plus ou moins gênants, mais ils ne pèsent finalement pas bien lourd face au plaisir monstrueux qu’il procure. L’ambiance captivante, le ton toujours aussi mature et l’implication du joueur au travers des nombreux choix possibles n’y sont pas étrangers. Voilà donc un achat indispensable, susceptible de redonner foi dans le genre au plus blasé des rôlistes.

Note de la rédaction

18

16.7

L’avis des lecteurs
(905)

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Assassins of Kings vs FX 8300 OC with GTX 1060 OC

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Good day to all. Today I decided to share with you my tests in the game The Witcher 2: Assassins of Kings (The Witcher 2: Assassins of Kings) and see how the «old man» AMD FX 8300 copes with moderate overclocking for every day. As a graphics processor, ASUS DUAL GTX 1060 is used for 6 gigabytes of video memory with a slight overclocking of 2000 Mhz — GPU and 9000 Mhz from memory. The game is installed on a regular hard drive Seagate Barracuda 7200

The Witcher 2 is a game that shoots at the sun while its rivals are still targeting the moon for its release time. It’s a AAA RPG with an indie soul and a thrilling adventure that’s really fun to dive into, admire, and mostly love.

recommendations

Excellent atmosphere, plot, beautiful locations, compositions and sound quality, one of the few games where Russian localization turned out to be better than English. A game where your actions affect the story, with many different endings.

The first chapter of the game features two very different final acts, depending on who you partner with, both of which are dramatic and well thought out. There are two completely different cities waiting for you in Chapter 2, depending on your previous choices in Chapter 1, which makes for a great opportunity for re-playability. The main goal is the same, but the characters, sub-quests and methods of passing the game are unique.

Some nuances of the first part of the game have been corrected and expanded. The Witcher 2 still has too many setbacks and too many invisible walls. You no longer need to buy books to complete the main tasks. The cities are even smaller than Vizima from The Witcher 1, especially the gnome city of Vergen, but you don’t run into the same NPC model every five seconds. As for the infamous sex cards, they’re gone, replaced by animated cutscenes full of nudity, uncensored but matching the characters involved in the game and bringing an extra immersion into the world of The Witcher, thanks to their free fan service. .

New combat system. As before, the trick is that you use a steel sword against humans, a silver sword against monsters, and a few simple magic spells to stun, burn, and otherwise tip the balance of the battle in your favor. Between fights, you mix magic potions to adjust your stats in different directions and set traps. Instead of pointing and targeting as before, each attack is a direct interaction with the game: mouse clicks for fast and slow attacks, and hotkeys for throwing magic and bombs, parrying attacks and throwing. This works well against one or two opponents at once, but the combination of long, continuous animations and poor aiming doesn’t work well against a large number of opponents. Also, the game can be played using a gamepad, the controls are quite convenient.

Testing:

Maximum settings, resolution 1280 by 720, prohibitive quality disconnected

Maximum settings, resolution of 1920 by 1080, prohibitive quality disconnected

Maximum settings, resolution 3840 by 2160, extreme quality disabled

Maximum settings, resolution 1920×1080, superlative quality enabled

Comparison table

Conclusion:

The game turned out to be quite demanding, graphically it looks simply gorgeous for its time. The multithreading is involved at a not very high level, the load on the cores is very mediocre. However, a processor with a graphics card makes it possible to enjoy smooth gameplay at maximum graphics quality settings. At the release of the game, I played it on the following configuration: Athlon II x2 255, 4 GB of DDR2 RAM and Geforce 9800 GT for 512 MB. At the time, I didn’t really notice any drawdowns and low frame rates, it was fun to play. All the best.

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