Halo reach test: Halo: Reach test on Xbox One has begun — Halo: The Master Chief Collection

Halo: Reach test flight emails for Xbox One are going out right now

When you purchase through links on our site, we may earn an affiliate commission. Here’s how it works.

What you need to know

  • Halo: Reach is currently undergoing insider flight testing before it is added to Halo: The Master Chief Collection.
  • Emails are going out right now for a test on Xbox One.
  • If you’ve signed up, check your email to see if you’ve been selected.

Halo: Reach has been undergoing internal testing before it is added to Halo: The Master Chief Collection. Brian Jarrard, Community Director at 343 Industries, shared on Twitter that a round of email invites are going out right now for testing Halo: Reach on Xbox One. So, if you’ve signed up to be in the program, go check your email and don’t forget to make sure the email didn’t end up in your spam folder.

Heads up Halo Insiders — emails are going out now to selected participants in advance of the upcoming Reach Xbox flight. Check your spam folders, etc. and make sure you’re ready (remove old MCC Insider builds from your console).Heads up Halo Insiders — emails are going out now to selected participants in advance of the upcoming Reach Xbox flight. Check your spam folders, etc. and make sure you’re ready (remove old MCC Insider builds from your console).— Brian Jarrard (@ske7ch) October 1, 2019October 1, 2019

See more

If you’ve been selected, make sure that you delete any prior Halo: Reach insider flights, as they aren’t needed and may actually cause problems. This test will be aimed gathering information and feedback regarding player-versus-player (PvP) gameplay. For more information on the steps you should take before this test begins, you can check our previous article here.

If you’re interested in taking part in this, sign up for the Halo Insider program. This will be beneficial not just for testing Halo: Reach on Xbox One but also future Halo titles as they come to PC.

Related: How to play Halo: Reach early on PC

Finish the fight

Halo: The Master Chief Collection

Experience the entirety of Halo history

The Master Chief Collection is a collection of every Halo shooter from the pre-Xbox One era, offering incredible value at an incredible price

Xbox

Main

  • What is Xbox Game Pass?
  • Best 4K TVs for Xbox Series X and S
  • Must-buy Xbox One Headsets
  • Our Favorite Xbox One Wireless Headsets
  • Best Upcoming Xbox Games for 2021
  • Xbox One X vs. Xbox Series S

Get the best of Windows Central in your inbox, every day!

Contact me with news and offers from other Future brandsReceive email from us on behalf of our trusted partners or sponsors

Samuel Tolbert is a freelance writer covering gaming news, previews, reviews, interviews and different aspects of the gaming industry, specifically focusing on Xbox and PC gaming on Windows Central. You can find him on Twitter @SamuelTolbert.


Windows Central Newsletter

Get the best of Windows Central in your inbox, every day!

Thank you for signing up to Windows Central. You will receive a verification email shortly.

There was a problem. Please refresh the page and try again.

By submitting your information you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy and are aged 16 or over.

[TEST] Halo: Reach Sur PC, Le Portage Moyen D’un Jeu Médiocre

Dernier épisode de Halo développé par Bungie, Reach est sorti sur Xbox 360 en 2010. Il est disponible depuis la semaine dernière en version remasterisée sur Xbox One et, la première fois pour un Halo depuis le deuxième opus en 2004, sur PC. Le jeu a connu un véritable succès vu le nombre de joueurs sur Steam (160 000 en simultanée à peine huit heures après sa sortie). On le sait, la saga Halo déchaîne les passions et a un grand nombre de fans… Mais il reste à répondre à cette question : au final, est-ce que ça vaut vraiment le coup de jouer sur PC à ce portage d’un FPS typé console sorti il y a dix ans ?

Une couille dans le portage

Commençons par rendre grâce à Microsoft : oui, il est admirable que cet énorme consolier/éditeur se tourne vers le PC. La tendance de l’entreprise à investir dans le jeu sur ordinateur, que ce soit au travers du Xbox Game Pass ou des portages de ses grosses licences jusque-là réservées aux Xbox, est particulièrement bienvenue. D’autant plus que, dans le cas qui nous intéresse aujourd’hui, le jeu a été publié sur Steam et nous épargne la souffrance de devoir utiliser le plus que pénible Microsoft Store. Certes, il vous faudra tout de même un compte Microsoft pour pouvoir en profiter mais, au moins, le jeu intègre parfaitement la liste d’amis Steam. Dommage, toutefois, que ce Halo: Reach PC ne rende pas hommage aux efforts de son éditeur.

Car même si la version PC de Halo: Reach est probablement la plus intéressante comparée à ce qui est sorti sur console, notamment grâce au support du combo clavier/souris et de la 4K, tout n’est pas rose. En effet, le portage de la Master Chief Collection semble avoir eu un développement chaotique et de nombreux points viennent le souligner. Dès le lancement du jeu, on s’aperçoit que quelque chose cloche puisque les options graphiques se limitent à la gestion du champ de vision, l’activation de la Vsync et trois presets (performance, original, amélioré). L’absence totale de possibilité pour personnaliser son expérience, facette inhérente du jeu sur PC, est fâcheuse… D’autant plus que ce Halo: Reach ne propose pas forcément une technique irréprochable.

Malgré les apparences nous ne sommes pas dans la chronique « Les FPS dont personne ne parle »

Reconnaissons-le, l’un des points positifs est que Reach est tout à fait capable de tenir les 60 FPS en 1080p. Encore heureux, d’ailleurs, lorsque l’on voit ce qui est affiché. Mais dès que l’on désire aller au-delà des 60 images par secondes, avec un framerate débloqué et une résolution supérieure, c’est la catastrophe : outre de grosses chutes de FPS dans certaines situations, un certain nombre de grossièretés techniques font leur apparition. Animations décalées, désynchronisation entre mouvements de la souris et du viseur, absence totale de post-processing… Même sans essayer de pousser les visuels, vous subirez des aberrations, car outre les sons mal mixés ne rendant pas honneur aux versions originales du jeu, Halo: Reach PC s’est permis à plusieurs reprises de me bloquer dans un matchmaking infini sur le mode multijoueur ou de m’infliger sans raison d’énormes pics de lag lors de mes séances en coopération. Et que dire des interfaces peu claires, de la conduite des véhicules pas du tout adaptée pour le clavier-souris et de la myriade d’autres bugs plus ou moins mineurs rencontrés lors de mes pérégrinations sur le jeu…

Ainsi, loin d’être un excellent portage, Halo: Reach PC se contente du minimum : tourner correctement en 1080p et 60 FPS et permettre de personnaliser presque toutes les touches du clavier. Pour le reste, ça ne vole pas haut et le jeu se permet de plus d’être bourré de bugs et de défauts qui auraient pu être corrigés ou retravaillés. Pour une première excursion de la série sur PC depuis plus de 10 ans, on regrette que 343 Industries n’ait pas pris la peine de proposer une version fignolée et pensée de bout en bout pour nos bécanes, mais gageons que cela suffira pour la plupart des joueurs.

Un FPS sans intérêt

Certains d’entre vous ont probablement une certaine affection pour Halo: Reach. Agissant comme votre madeleine de Proust personnelle, y jouer vous renverra à cette époque confortable où, encore adolescents, vous jouiez avec vos potes, avachis sur le canapé familial et loin des soucis de la vie d’adulte. Cette version PC n’a subi aucun changement fondamental au niveau du gameplay et, si vous êtes fan de la licence, il est probable que vous puissiez y retourner avec un certain plaisir. Pour les autres, ceux qui n’ont jamais touché au jeu ou qui ont depuis pris le recul nécessaire pour effacer toute trace de nostalgie, c’est une autre paire de manches. Car, au-delà de l’aspect technique bancal, c’est la proposition du jeu en lui-même qui rate le coche.

La campagne, jouable en solo et en coopération en ligne jusqu’à quatre joueurs, peut se terminer en cinq heures sans trop se forcer, et ce, même dans les difficultés plus élevées. Sa courte durée est en réalité presque un avantage tellement elle semble fade. Son scénario est incompréhensible et mal amené pour qui ne connait pas déjà l’histoire de la saga, Reach servant de préquelle à la série Halo. Résultat : impossible de se sentir émotionnellement concerné par les événements, prétendument tragiques, qui se déroulent sous nos yeux et dont on ne saisit jamais la portée par manque d’informations malgré les nombreuses cutscenes. Sans parler de la direction artistique, qui est à l’appréciation de chacun (faut aimer le space opera avec des couleurs criardes, quoi), les visuels oscillent entre de très beaux panoramas et des décors immondes, vides, plats. Si certaines sont réussies, les musiques peinent quant à elles à relever l’ambiance. Pour être honnête, j’ai même parfois éclaté de rire, comme quand j’ai entendu celle-ci lors d’une course-poursuite. Plus drôles encore, les doublages et la traduction en français sont totalement risibles et à côté de la plaque, incompréhensible venant de la part d’un AAA avec un si gros budget.

En 2552, on parle hongrois dans l’espace.

Mais finalement, c’est au niveau du gameplay en lui-même que Halo: Reach déçoit le plus. La plupart du temps, le jeu alternera des phases à pied et véhiculées dans de grandes cartes au level design pauvre et proposant beaucoup de backtracking – on arpentera systématiquement des parties de niveaux que l’on a déjà vidé et dans lesquelles des ennemis sont réapparus. Si les séquences en véhicules ont au moins le mérite d’être rendues amusantes par la physique surréaliste du jeu, les combats n’offrent aucune sensation, les armes n’ayant aucun recul ni effet sur les adversaires et les ennemis ayant tendance à être des éponges à balles (en difficulté Héroïque et Légendaire tout du moins). Mention spéciale au fusil à pompe, l’un des pires de l’histoire des FPS. À l’exception d’une séquence en vaisseau spatial, vous n’aurez jamais à maîtriser de nouvelle mécanique de jeu et vous passerez l’aventure à avancer d’un objectif à un autre sans trop y penser. Globalement, tout est assez mou et, de plus, avoir fait du sprint une capacité active remplaçant d’autres bonus est une aberration. Impossible par exemple de pouvoir profiter du jetpack, un des pouvoirs intéressants permettant de rendre le jeu un peu plus dynamique, si l’on veut garder la possibilité de courir. Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo de gameplay enregistrée par un illustre inconnu (je vous ai épargné 5 minutes de cinématiques pour vous lancer directement dans l’action).

Évidemment, tout n’est pas à jeter : les ennemis, notamment les grunts, ont régulièrement des animations amusantes et ils ont plusieurs « états » en fonction de la situation. Ainsi, abattre un gros alien pourra pousser ses collègues à organiser une retraite tactique ou, au contraire, les rendra beaucoup plus agressifs. Notons également que le mode coopération offre plusieurs modificateurs pour personnaliser la partie, augmentant par exemple la santé ou l’agressivité des ennemis, enlevant le HUD, etc. De leur côté, les modes Multijoueur et Baptême de Feu sont fournis en contenu et foisonnent de types de jeu divers et variés : deathmatch, capture de drapeau, horde, défense de zone, sorte de mode rugby… Dommage, cela dit, que ni les armes ni les maps ne soient vraiment inspirées – tout est finalement très basique et peu engageant.

Au final, difficile de recommander ce Halo: Reach à d’autres personnes qu’aux aficionados de la série et aux nostalgiques de la Xbox 360 tant le jeu semble désuet. Même en le remettant dans son contexte, ce qui nous est proposé fait bien pâle figure face aux jeux de 2010 : S.T.A.L.K.E.R. Call of Prypiat, Battlefield Bad Company 2, Metro 2033, autant de FPS aux nombreuses qualités qu’il vaut mieux réinstaller si on veut se faire un trip dans le passé plutôt que de se pencher sur ce Halo: Reach, finalement bien médiocre.

N’y allons pas par quatre chemins, ce portage PC de Halo: Reach ne satisfera que les inconditionnels de la saga ou les joueurs peu exigeants. Les autres pourront oublier ce jeu qui n’était déjà pas grandiose lorsqu’on regarde les autres FPS de l’époque, sur consoles ou non, et qui aujourd’hui parait bien plus fade encore lorsqu’on a aucune affinité particulière avec la licence. Au moins, il n’est pas cher et est ouvert aux mods.


Halo: Reach est disponible sur Steam individuellement à 10€ ou au sein de la Masterchief Collection à 40€, soit l’équivalent d’un casque de moto pas cher permettant de faire un cosplay Spartan.  

Test effectué sur une version commerciale du jeu.

 

Psychology. Representation. Imagination. Memory. Self-test — take the test online for free

    Authors

    8-800-333-85-44

    Submit an application

    Entrance

    • Directory
    • Online calculators
    • Tests with answers

    We can do any type of work

    • Diploma works
    • Coursework
    • Abstracts
    • Test papers
    • Practice report
    • Essay

    Find out the cost of work for free

    Psychology

    Psychology

    Psychology

    Psychology

    Psychology

    Psychology

    Psychology

    Psychology

    Psychology

    • Test

      from 1 day
      /

      from 100 rubles

    • Coursework

      from 5 days
      /

      from 1800 rub

    • Thesis

      from 7 days
      /

      from 7950 rubles

    • Abstract

      from 1 day
      /

      from 700 rubles

    • Online help

      from 1 day
      /

      from 300 rubles

    Leave a request — and we will pass all the tests for you!

    How not to become a victim of the “halo effect”?

    13 015

    Man among people Practices how toAntistress

    If the first impression of a person is positive, including due to circumstances, then subsequently the plus sign extends to all his features and actions. He is forgiven a lot. If, on the contrary, the first impression is blurred, then, no matter how well a person does in the future, he is evaluated through the prism of the initial assessment.

    For Russians, this effect can be explained with the help of the proverb “greeted by clothes, seen off by mind”. The only difference is that due to the influence of the halo effect, they usually “see off” everyone in the same clothes. And in order for the mind to be seen behind it, the carrier of the halo needs to make a lot of effort.

    Prejudices often fail to be overcome. This is especially noticeable in children’s and adolescent groups. For example, if a newcomer to a class doesn’t get along well and is immediately labeled as unflattering by classmates, often the only solution is to change classes, where you can start fresh and try again to make a first impression.

    What is this phenomenon?

    In the 1920s, the American psychologist Edward Thorndike discovered that when evaluating others, we are guided by the perception of certain personality traits — such as, for example, appearance, cheerfulness, talkativeness — and they overshadow everything else. The psychologist called this phenomenon the halo effect or the halo effect.

    The halo effect describes an unconscious perception error: individual qualities of a person — attractiveness, external inferiority, exceptional achievements — dominate over other qualities unknown to us, which we ourselves think out, finish drawing in our heads. The first impression overshadows everything else, creating a halo. In social psychology, the effect is referred to as cognitive distortions.

    For example, imagine that you are introduced to a person with amazingly good manners — and in a few minutes you create in your head the image of a well-groomed, educated, eloquent, charming interlocutor.

    In other words, a single distinguishing feature allows us to infer other unknown qualities. Students with glasses are considered by many teachers to be more well-read and even smarter.

    And, of course, Hollywood stars get affected by the halo effect. Since many actors are associated with the characters they play, and we see them in reports and on TV as glamorous divas, we believe that they are like that in real life.

    Well, the most famous case of the influence of the halo effect is Khlestakov from The Government Inspector. The whole society initially accepted him as an auditor, not noticing the obvious inconsistencies and mistakes in his behavior and words.

    Why does our brain need this effect?

    Without the halo effect, many sectors of the economy would simply collapse. “If I wear the same pants as this successful businesswoman, I will make the same impression!” A Chinese accessory instantly turns into a fashion accessory (and even its price soars to several hundred euros) if it is noticed and put on by a star or supermodel. This is roughly how it works.

    But why would our brain purposefully lead us into a trap? Throughout our lives, we have to process huge amounts of information. We need to navigate with a minimum of information, and for this we need to somehow classify the surrounding objects and subjects, interact with them. The halo effect simplifies these processes.

    If we were to deeply analyze the entire incoming flow of visual and other stimuli each time, we would simply go crazy

    So in a sense, the halo effect is our defense mechanism. But at the same time, we deprive ourselves of a more objective view, which means that we limit our capabilities. And the one on whom we «put on» a halo runs the risk of forever remaining in our eyes in the role we have invented for him.

    How to overcome the halo effect?

    Alas, «disabling» the halo is difficult, and often impossible. We may this time notice it in our own perception of the other or in our evaluation of ourselves, but the next time we will imperceptibly fall under its influence. And although we all know the expression «don’t judge a book by its cover,» that’s what we all often do.

    If the person whom we awarded the halo is important and dear to us, the only antidote is to analyze our impression, decompose it into its components: highlight the leading, key feature for the halo and name the rest that have disappeared in our perception due to the halo effect to the background. Especially such a technique is necessary for managers, HR-specialists who make personnel decisions. For example, in Australia, resumes are not accompanied by photographs so that external data does not overshadow the competencies of the applicant.

    Most of us are voters, so we should not buy into the halo effect of politicians who, especially before elections, try to appear exceptionally kind, open and responsible. And here we ourselves should collect information about the candidate, so as not to become a victim of self-deception.

    And no one prevents us from collecting information about ourselves and our own halo — about how others perceive us

    We can honestly say that we know about the phenomenon of the halo effect, and invite our interlocutor or colleague to look under our «nimbus» a little deeper and give us a chance to show all our qualities. Directness and sincerity are often disarming. You can also think about how we would like to look in the eyes of others and what we can do for this, but in such a way as to remain ourselves.